Le fait que les notaires de France et du Liban aient souhaité travailler ensemble est une manière de sécuriser nos échanges économiques sur le plan du droit.
C’est grâce aux notaires que j’ai découvert la problématique des enfants sans identité et que je me suis emparée du sujet pour en faire un combat politique ; ce sont des partenaires absolument indispensables.